Pourquoi pratiquez vous le qwankido ?

Je voulais ouvrir un post sur les motivations qui vous ont poussé à pratiquer le Qwankido.

Est-ce dû à l'ambiance, le sérieux de la discipline ou de votre enseignant, la présence d'un ami, la diversité des techniques, le réalisme de ces techniques, la possibilité de faire des compétitions, la proximité géographique de votre club, l'absence d'une autre discipline à côté de chez vous, aprés une démonstration du maître ou d'une compétition,... ?

Les motivations sont nombreuses donc n'hésitez pas à être verbeux

Alors pour moi, je suis arrivé au Qwan Ki Do par hasard. Je voulais faire un art martial,et j'avais entendu parler d'un cours de Karate Contact dans un gymnase près de chez moi. Le club ayant changé ses horaires, je suis tombé sur un prof en kimono noir...euh..vo phuc noir.
j'y suis resté car les pratiquants avaient l'air de bien s'entendre ensemble. Le prof m'avait fait un très bon accueil. Ensuite, le côté réaliste des techniques présentées, l'enseignement très physique de Jean François Guyenot... j'ai directement signé pour une année. Puis pour une autre...

Apres avoir fait du foot, a 12 ans en allant chercher mon petit frere a l'ecole, 2 personnes distribuaient de la pub pour le qwa ki do.

J'y suis allé par curiosité et depuis j'y suis resté.

C'est donc un pur hasard comme beaucoup de rencontres dans la vie.

D'ailleurs le hasard si il me peut me faire faire d'autres rencontres, c'est quand il veut ...

oh oh oh...

alors, on l'ouvre cette section rencontres pour qwan ki do sinh encore célibataires...?

moi j'ai decouvert le qwan ki do par hasar, en fait je recherchais un art martial apres avoir fait du foot, et il y avait un cour juste en dessous de chez moi, donc j'ai essaye, et j'ai de suite accroche, car j'adore la technique, faire les quyen... et je suis pas contre pour pas dire totalement pour me mettre sur la tete de temps en temps, en plus je remarque que 8h d'entrainement par semaine ca me calme, donc ca m'evite d'exploser au lycee...

Par hasard également. Après du taekwondo et du kyokushin et un déménagement, je cherchai un club par trop loin et sympa alliant technique intéressantes et bourrinages amicaux. Et en surfant sur la toile, je suis tombé sur l'ACPQKD, j'ai fait un premier jour d'essai, puis deux, puis un an, puis 5.

Si je reste aujourd'hui c'est pour la combinaison, de l'effort physique, de la richesse technique, de la beauté de l'art (j'adore faire les techniques d'animaux, ça plait aussi à ma femme d'ailleurs) et la possibilité de se cogner en toute amitié. J'ai également eu la chance de trouver un club avec une super ambiance (faut dire qu'au taekwondo c'était plutôt ambiance excités de banlieue parisienne en mal de virilité et le kyoku plutôt supporter du KOP de Boulogne en manque de hooliganisme), laissant à chacun pratiquer selon son souhait et son niveau d'engagement (même si on nous pousse à faire toujours plus... on est aussi là pour ça faut dire), ne forçant pas la compèt' mais soutenant à fond ses compétiteurs. Que du bonheur quoi !

alors moi totalement par hasards :

à l'époque j'avais rencontré une fille qui me disait qu'elle pratiquait un art-martial sino-vietnamien et qu'elle était championne d'europe.
Vu que je cherchais moi-même un art-martial pratiquer je suis venu à un cours, et depuis je n'ai plus décroché.
Plus tard j'ai appris (par Vo Su) que c'était totalement une mito la fille et qu'elle na rien fait du QKD, elle n'était même pas inscrite LOL

De toute façon peut importe, vu que grâce à sa connerie, je suis maintenant un pratiquant du QKD et que j'y ai découvert une passion.

J'ai toujours fait du sport et j'ai fias longtemps du foot avec en même temps du Judo et au karaté, mon père ancien karatékas... 2 cousins 3ème Dan de Judo et 5ème Dan de Karaté respectivement... Mais les arts martiaux, je le faisais juste pour apprendre à me déféndre... Car j'étais à fond dans le foot... Et ça marchait plutot pas mal, selections jeunes départementales et régionales...

Puis j'ai reçu le fameux sésame pour rentrer dans un centre de formation... Mais le papa a dit non, trop jeune pour partir loin du cocon familial... A partir de là j'ai décidé d'arrêter, je ne voyais plus l'intêret de continuer le foot sans progression... J'étais et je suis un compétiteur dans l'âme.

Un ami à moi m'a dit qu'il faisait du Qwan Ki Do, du quoi??? je pensais qu'il se foutait de moi... donc un soir je me suis rendu à la salle, et là j'ai dit aller on arrete le foot et on fait ça, ils ont l'air de se défouler et de bien taper... c'était en 1992...

Et depuis, je n'ai pas arrêté une seule année, et tant que je tiendrai debout je continuerai... tout me plait dans le Qwan Ki Do, même ce que je ne sais pas faire ou que je maîtrise mal... les assauts (compétitions et Libres...) la tQuyêns (même si j'avoue qu'avant je trouvais ça lourd... Merci à Thuy long, de m'avoir apporter une façon différente de pratiquer et apprendre les Quyêns). les armes... et Enfin le Maître et son niveau, sa pédagogie, sa disponibilité... mais aussi tout les acteurs du Qwan Ki Do que je cottois de près ou de loin...

On a la chance de pratiquer un art martiel riche et formidable

vialistik a écrit:alors moi totalement par hasards :

à l'époque j'avais rencontré une fille qui me disait qu'elle pratiquait un art-martial sino-vietnamien et qu'elle était championne d'europe.
Vu que je cherchais moi-même un art-martial pratiquer je suis venu à un cours, et depuis je n'ai plus décroché.
Plus tard j'ai appris (par Vo Su) que c'était totalement une mito la fille et qu'elle na rien fait du QKD, elle n'était même pas inscrite LOL

De toute façon peut importe, vu que grâce à sa connerie, je suis maintenant un pratiquant du QKD et que j'y ai découvert une passion.

Son histoire est vraie en plus, la fille n'est jamais revenue à la salle.

Bien, on va faire court. Y'a pas de viet vo dao à Dijon.
Nan, sans rire, après avoir connu le viet pendant 7 ans à Paris (à raison de 3 fois par semaine plus le dimanche), la boxe thaï pendant 2 ans en même temps que le viet (mais trop cogneur à mon goût), j'ai pris goût à cette discipline, car riche en émotion et en physique. J'ai toujours été sportif, j'ai besoin de me dépenser et là, j'étais servi. Puis la société où je travaillais a déménagée, je me suis retrouvé au chomage et je suis parti de Panam. Je me suis au vtt, puis à la compétition (style le morvandiau à Autun, compét avec Miguel Martinez, la classe !). Puis là, depuis 2 ans, j'ai appris qu'il y avait un club de qwan à Dijon, que je connaissais peu. Mais j'ai adhéré de suite. Il m'a suffit d'un aperçu rapide, car proche du viet. Et puis, je me suis mis à fond. J'aime participer, m'investir. Et puis le club où j'étais à fermé, et on nous a orienté vers le club de Jeff. Et là, c'est terrible, je suis accro, j'ai retrouvé ces sensations que j'avais perdu, des envies, des besoins d'apprendre et de m'entraîner (une part de masochisme fait que j'aime le combat, même si je suis mauvais). J'aime cet art, car il regroupe la voie du bonze et la voie du guerrier, tu n'es pas obligé de suivre telle ou telle voie, tu passes de l'une à l'autre sans clivage. Les gens sont super sympa, il y a un profond respect de chacun, mais si des fois cela est difficile. C'est une école de tradition, une école de vie, physique, psychique et relationnelle, c'est un art, qui pratiqué à bon escient me permet de me maintenir, de me défouler après le travail (assez stressant, je trouve) et surtout de passer de bon moment en se vidant la tête, et ça, c'est que du bonheur.
Le qwan est une grande famille où l'on s'y sens bien
Phil, t'avais dit que tu ferais court !!!
ben quoi, y'a pas 3 pages

Personnellement,
J'ai toujours rêvé de faire un art martial vietnamien.
Mais les études ne m'ont permis d'en faire que très tard (en 2001 - 23 ans, à Caen).
Je me renseigne, et je vois qu'il y a du QKD et du Vovinam.
J'essaie le premier, mais pas le second, restant scotché au QKD.

D'abord, il y avait l'ambience : petit club (nous étions en moyenne entre 6 et , petit gymnase miteux mais avec tout son charme (pas chauffé, pas nettoyé, une seule douche, vestiaire tout petit) et il y a avait surtout des enseignants INCROYABLES !!!

Merci à eux

Et bien moi j'ai commencé comme "tout" le monde par le judo, puis le foot, tennis et je ne sais plus...

Puis un jour j'ai accompagné mes 2 cousins à leurs entrainements de Qwan Ki Do, sur place l'instructeur m'a proposé "d'essayer". Et voilà depuis s'est devenu ma drogue.

Tout est bien dans le Qwan Ki Do, Quyên, Combat, sans oublier le Maître et son incroyable Maîtrise et bien sur Thuy Long avec ses précieux conseils et ses stages.

Et bien, moi, il y a très longtemps, ça devait être en 1976 , j'ai vu un monsieur couper des ananas les yeux bandés à la foire de Paris.

Mes copains d'école avaient des grands frères qui les emmenaient voi les films de Bruce Lee, leur faisaient faire du nunchaku. Ils collectionnaient les figurines panini sur les arts martiaux. (si quelqu'un le possède, je suis preneur).

A l'époque quand on voyait quelqu'un en position du tigre, pour nous, il était forcément super fort.

Mon père ne tenait pas à ce que je fasse une discipline de voyou (c'est souvent comme cela qu'étaient perçus , les admirateurs de Brue Lee en ce temps là). M'élevant seul, il ne voulait pas me voir de venir un manieur de nunchak' agressif

A 12 ans , je veux faire du kung Fu forcément, mais tout les clubs sont à Paris et pas question pour moi de rentrer trad en RER à cette heure, à l'époque j'habite Antony. Dans ma ville il y a du Karaté qui ne prend les jeunes qu'à partir de 16 ans Coup de pot en fait .

Je me balade à la piscine Lionel Terray quand je tombe sur une affiche montrant un gars baraqué en pantalon noir et ceinture blanche et rouge et un autre qui tranche un ananas les yeux bandés sur la nuque d'une personne. Là, je me rappelle que j'ai vu cela à la télé.

L'affiche du club est terrible, un gueule de panthère ouverte, à l'intérieur, une personne en méditation et deux personnes qui combattent au milieu des éclairs.

Il n'en faut pas plus pour stimuler mon imagination, j'ai trouvé la discipline dont je rêve depuis un moment, le

Việt Võ Ðạo.



J'apprend que les personnes en photo sont Maître Tong et Maître Tasteyre. J'en parle à mon père qui refuse de m'inscrire prétextant le fait que je suis trop jeune... Il me dit " l'année prochaine....si tu travailles bien". Une année passe et j'ai bien travaillé (sous entendu, je passe en classe supérieur ) et j'ai toujours cette affiche e tête. .

Le club de Maître Tasteyre a fermé mais je tombe sur la revue des sports de la ville qui indique qu'il en existe un autre près de chez moi. Je file voir le paternel lui rappelant (avec respect tout de même, en ce temps on plaisantait pas avec le père) son engagement et il me dit OK



Géant



Comme dans les films mais en vrai, on est tous alignés en donna t des coups de poing et on crie . Mon père nous trouve déjà un peu cinglé (lui bosse déjà en psychiatrie ).



Mes profs sont issus des Maître Nguyên Trung Hoa et Maître Tasteyre. Le premier étant décédé et le second retiré, ils suivent globalement l'enseignement de Maître Tong qu'ils connaissent car les échanges entres Maîtres Tong et Tasteyre et leurs élèves sont très fréquents à cette époque.



Je me fais des potes avec lesquels je suis toujours en relation même s'ils ne pratiquent plus aujourd'hui, 15 ans à passer tous nos grades ensemble, faire équipe en compétition et se mettre sur la figure à la salle.



De temps en temps, on récupère des anciens de chez Maître Tasteyre de passage dans le coin, ou bien d'autres encore partis faire du Kung Fu et qui reviennent , avec quelques titres de champions de France, pour le fun pratiquer avec nous.



Pas question de refuser un combat, même si les ados (un petit groupe de 5 entre 13 et 15 ans) prennent des raclées. C'est pas grave on apprend. Au niveau physique, c'est dur également, la jeunesse et sport ainsi que le oncept de santé dans le sport ne sont pas encore passés par là Il y a de la casse chez les adultes, mais nous, nous sommes toujours là, et on continue à prendre des raclées face aux grands. Petit à petit, on progresse, on grandit et on commence à rendre les coups.



Mais les anciens ne nous font toujours pas de cadeau. J'aime beaucoup les quyên également. Je les apprends très vite , puis d'un coup , je bug, Quan Ky Môt, qui était le 3ème quyên du programme est vrament dur à assimiler pour moi, alors que tous les copains le retienent facilement



Par contre , on adore les ciseaux volants, la pédagogie des chutes n'existent pas, on apprend qu'à sauter, les réceptions sont secondaires Un peu de douleurs cervicales, mais c'est pas grave, on est jeune...



Cette année là, mon club organise le grand rassemblement des ceintures noires, je suis fier de mon 2ème câp et participe à l'accueil des stagiaires en leur donnant le programme du week end.



Quand tout à coup un bruit court dans l'assemblée "Maître Tong arrive, Maître Tong arrive", un ange passe...



Maître Tong arrive et là pour moi c'est En chair et en os, il est impressionant, souriant comme il l'est maintenant, mais son attitude guerrière ne laisse pas indifférent, surtout pas un gamin de 14 ans.



Un de mes profs étant vice président de la fédération, j'ai le droit de me faufiler discretement dans un coin lors d'une séance vidéo (en super8) du Maître. Je suis subjugué, je n'ai jamais vu quelqu'un faire ça avant, comment peut on être aussi rapide....



J'ai trouvé le Maître dont je veux suivre l'enseignement, l'année suivante de faire mon 1er stage avec lui, nous avons étudier Long Ho Quyên.



En 1981, Maître Tong crée le Qwan Ki Do, un de mes profs le suit naturellement, nous également.



A partir 1983, je fais quasiment tous les stages et toutes les compétitions (blessures mises à part). A chaque fois, c'est un moment intense, par l'enseignement du Maître bien sur, mais aussi les voyages délirants pour aller au stage, les gens qu'on rencontre, etc...



Quand je serai beaucoup plus vieux , je pourrai dire à mes arrière-petits enfants que dans l'ensemble, je me suis bien marré



A+

Thuy Long a écrit:en 1976 , j'ai vue un monsieur couper des ananas les yeux bandés à la foire de Paris.

Wahooo !!! En 1976 il découpait déjà des ananas les yeux bandés !!!

Sinon, pour faire un premier point sur tous vos post, il ressort quand même que le hasard est la première explication de votre venue au QKD, ensuite la pub et bien entendu, un premier court qui nous rend tous accros.

C'est interrssant à savoir car ça nous permet de mieux comprendre la psychologie des nouveaux pratiquants et ainsi nous permettre de mieux cibler les moyens à mettre en oeuvre pour en faire venir d'autres.

Faire connaître le QKD par tous les moyens (publicité, portes ouvertes, démonstrations, festivals, articles de presse, cours d'essai, stages ouverts à tous,...) c'est, je pense, son meilleur atout pour le développer... car je connais beaucoup de déçu des arts martiaux qui seraient surpris de voir ce que le QKD propose.

Avis donc aux professeurs (faites connaitre votre club !!! )

Je te rejoins la dessus Hakim, on doit bosser dans ce sens au niveau de la communication... On devrait mettre des actions qui puissent s'appliquer à n'importe quel clubs de Qwan Ki Do (flyers, affiche, Plan pour organisation de portes ouvertes, dossier sponsoring...)

Et Merci Thuy Long d'avoir mis ta réponse... J'avais jamais su comment tu avais attéri dans le qwan ki do, je me souviens juste de tes histoires sur tes premiers stages, assauts en compétition, stages avec le Maitre.

Tu dis que tu as rencontré et travaillé avec Maitre Tasteyre... alors techniquement il était comment... Il bossait vraiment avec Maître Tong...

'llo perso 'est un peu le hasa'd qui m'y a amené...j'avais pratiqué le judo et le ju jitsu mais j'avais complètement arrété les arts martiaux pendant 3 ans...bien évidemment ca me manquait...et puis un jour un de mes collegues qui avait été pratiquant de QKD m'a invité a le rejoindre au stage de début de saison de l'ACPQKD....et là honnetement ce fut un choc...2 jours de stage, les techniques zoomorphiques, les cam na....2 jours de stage plus tard je me suis inscrit et puis ca é été vite un engrenage infernal: les stages, les armes, le tam the, j'avais envie de tout essayer et si peu de temps...
Les stages avec Maître Tong sont toujours de grands moments également, d'apprentissage et d'échanges avec d'autres pratiquants, d'autres clubs...une bien belle discipline d'une richesse ahurissante. Plus on apprend moins on a l'impression de savoir...un peu comme un puit sans fin...
Merci à Thuy Long de nous faire partager son savoir et ses blagues (car c'est important, on s'amuse egalement au QKD!) et de nous aider à nous dépasser!

Allez, à mon tour!

Pourquoi je pratique le Qwan Ki Do... Et bien non, je ne pense pas que ce soit le hasard!
Comme dirait notre ami Lahcen, Responsable Technique au Maroc: "mektoub" ou "c'était écrit"
Je crois au destin et trop de choses sont arrivées par le Qwan Ki Do pour que cela soit simplement un concours de circonstances (peut-être une autre théorie à développer dans le post de Vialistik; comme quoi on peut aussi discuter de choses sérieuses sur ce forum!)

Donc, un papa pratiquant de haut niveau au Vietnam, entre autres 3ème Dan de Judo en France mais pas de culture martiale particulière pour son garçon manqué de fille. A l'époque (ça y'est, je fais vieille c...!), et dans une famille vietnamienne, "cela ne se faisait pas" de pratiquer pour une fille (véto de ma maman, malgré mon papa!)

En primaire, j'arrive malgré tout à pratiquer un peu de karaté (pas trop le choix, à l'époque...), d'abord shotokan puis wadoryu. Mon père essaye bien de m'apprendre le judo, mais moi aime pas moi! Moi aime pas tomber, ni me traîner pendant deux heures de cours au sol (fille un peu quand même!)

Puis le lycée: interdiction de "perdre mon temps" avec le sport, objectif bac (Toujours cette bonne vieille éducation vietnamienne! Je sais, cela ne va pas plaire à tous les vietnamiens, mais cela m'est absolument égal; j'assume complètement.)

Enfin la fac, j'ai le droit de faire ce que je veux: inscription à l'assos de sport de la fac. Là, toujours pas trop le choix: Karaté, Aïkido, Judo... les grands classiques, quoi. Donc retour à la case Karaté Wadoryu pendant un an.

L'année d'après, je devais re-signer pour un an et là: plein d'affiches placardées partout dans la fac, "Qwan Ki Do, Art martial sino-vietnamien"!
Devinez qui était dans la place?......


... Thuy Long!!!!!

Donc, je me dis que puisque je veux pratiquer; autant retrouver mes racines et mes origines. Et voilà comment j'ai commencé le Qwan Ki Do.
Ce fut aussi le début de notre histoire commune avec Thuy Long; mais chuuuut... ceci est une autre histoire.

Donc notre rencontre m'a fait découvrir le monde du Qwan Ki Do que je n'ai plus jamais quitté depuis, mais c'est le Qwan Ki Do qui est à l'origine de notre histoire. Qui de la poule ou de l'oeuf...?
Je n'insisterai pas lourdement sur les qualités d'enseignant de Thuy Long ( il le sait bien...), déjà en devenir du super coach qu'il est maintenant (moi seule ai le droit de lui cirer les pompes, qu'on se le dise! et c'est entre autres choses ce qui m'a "accrochée" au Qwan Ki Do.

Ensuite, les choses se sont emballées (non Oren, les "choses"; ce n'est pas nous); entraînements 3 fois par semaine plus les stages (je crois même qu'une année, nous avons fait tous les stages en France...), embrigadée pour faire cours aux enfants etc. etc.
Et puis surtout, première rencontre avec le Maître lors d'un stage: révélation totale! Tant de connaissances, de charisme; et pourtant si proche de chacun!

C'est vrai, nous avons tant de chance; faisons le savoir!!!!!!!!!!

Sniif, que de circonstances émouvantes!

Pour ma part, je suis entré par hasard, et je trouve pas la sortie...

Oren a écrit:Sniif, que de circonstances émouvantes!

Pour ma part, je suis entré par hasard, et je trouve pas la sortie...

Ben éteins la lumière et demande à Christophe pour la porte...

arrrf!! Ca va lui faire plaisir!

Bon et bien moi c'était il ya environ 21ans, une bonne amie de l'école primaire pratiquait à Antony le Qwan Ki do avec Thuy Long (et oui ... ) . Donc mon papa et ma maman m'ont emmené après forte insistance et puis je suis tombée dans la marmite et trouvée une seconde famille qui depuis ne me quitte pas (non, non je ne lachèrerais pas non plus!) ... la suite c'est sur la présentation...

al a écrit: Donc mon papa et ma maman m'ont emmené après forte insistance

Je vois très bien la tête que t'as dû faire et la vie que t'as dû mener aux parents...

L'amie c'était Lili ou "l'autre"?

et oui je les trainais dans un monde inconnu chez nous hormis les films de l'époque... et l'amie c'était Valérie, ma cops d'école, et pour Lili on s'est rencontré au club!!! Que des supers souvenirs!

et après moi , le petit frère (devenu grand) a suivi sa soeur et enfin on a pu leur mener la vie dure (imaginer les bastons moi 10 ans et lui 5ans après les entrainements... application!!!)

Et ben, ça me rajeuni pas tout ça